2.4.9 TEMOIGNAGES INCOMMODES CONCERNANT LA CONFIGURATION REELE DE LA TERRE

Les anciennes écritures des chinois, des égyptiens, des indiens et des autres peuples, comme les légendes des eskimos, rappellent la grande ouverture du nord, d’un peuple qui vit sous l’écorce terrestre, comme le fait que leurs ancêtres soient venus de ce pays du paradis.

 La majorité de ceux qui ont écrit sur ce sujet affirment que l’intérieur de la Terre est habité par un peuple d’hommes petits de taille, ayant une peau brune et dit encore que les eskimos, dont l’origine de la race est différente de celle de toutes les autres race de la surface de la Terre, proviennent de cette race souterraine.

      Nansen cite un écrivain norvégien du XIII siècle, d’après qui les eskimos, pendant ce temps, étaient considérés un peuple surnaturel.

      Leur tradition même des eskimos raconte qu’ils sont venus d’une contrée avec le Soleil éternel, d’un pays qui se trouve au-delà de la barrière de glace nordique.

          En dehors de ça, il existe des récits similaires, mais absolument indépendantes, de certains individus qui affirment qu’ils sont rentrés dans l’ouverture polaire nordique.

          Ainsi, Raymond Bernard cite dans le livre – "Un monde caché" -, la déclaration faite par dr. Nephi Cottom de Los Angeles, qui a dévoilé à la presse le conte qu’un homme d’origine scandinave lui a dit :

"J’habitais en Norvège, proche du Cercle Artique. Un été, moi et mon ami nous nous sommes décidées de faire ensemble un voyage en barque et d’aller le plus loin possible dans le coin du nord. Nous avions fait nos bagages pour tout un moins, dans une petite barque à pêche, à voiles et avec un bon moteur et nous sommes parties en mer."

Après un mois nous sommes arrivés loin dans le nord, au-delà du pôle, dans un petit pays étrange. Le plus nous étonnait le temps qu’il faisait là-bas : chaud, et, parfois, la nuit on ne pouvait pas dormir à cause de la chaleur.

Après nous avions vu quelque chose de si bizarre, de sorte qu’on est resté tous les deux éblouis : devant la mer chaude et sans glaçons était quelque chose qui ressemblait avec une grande montagne.

L’océan ressemblait se verser dans un certain point de cette montagne.

Incertains, nous avions continué dans cette direction et nous nous sommes rendu compte qu’on flottait dans un large canyon, qui conduisait à l’intérieur de la Terre !

COMMENTAIRE

Les affirmations de deux phrases ci-dessus, ne peuvent pas être prises en considération car c’est naturel et -aucun observateur ne peut saisir par ses sens et ni à l’œil nu une courbure assez lente ayant un rayon d’au moins 1000 km, le passage vers la surface intérieure étant pratiquement impossible à déterminer par un observateur seulement par ses sens innés, sans un appareil adéquat et, - spécialement créée afin de suivre ce but.

L’océan, qui nous avait conduit dans l’intérieur vide de la terre, est devenu, par la suite, une rivière.

Cette rivière, comme on s’est rendu compte plus tard, sur toute la surface intérieure du monde, d’un bout à l’autre.

Il peut te conduire, tu suis son chemin, du Pôle Nord au Pôle Sud. J’ai observé que la surface intérieure de la Terre était divisée, comme l’autre, dans la terre et l’eau.

Le soleil illumine pleinement, et la vie animale et végétale abonde.

COMMENTAIRE

La récit de cette phrase confirme en fait indirectement ce qu’on avait affirmé auparavant, - que la surface intérieure de la Terre est illuminé par le même Soleil qui nous illumine nous aussi en nous provoquant à cause de la rotation de la Terre autour de son axe en 24 heures les alternances entre les jours et les nuits et non par un soit dit Soleil central-.

J’ai voyagé le plus loin possible dans cette contrée fantastique, fantastique car tout était grandiose en comparaison avec les choses de dehors. Les plantes étaient grandes, les arbres gigantesques et au final on a trouvé des géants.

Ceux-là habitaient dans des maisons et des villes, comme nous, sur la surface Terre, et ils utilisaient pour le transport des hommes un moyen de transport électrique, semblable à un monorail.

Ils allaient sur toute la longueur de la rivière, d’une ville à l’autre.

Quelques habitants de l’intérieur de la Terre ont découvert notre barque sur la rivière et ils étaient éblouis.

Ils étaient assez sociables.

      COMMENTAIRE

Si on analyse ce système de transport similaire à un monorail, de point de vue technique, celui-ci peut être une solution technique assez ingénieuse et avantageuse parce que;

-         pour des grandes vitesses et variables le virage dans les courbes se réalise naturellement (moyen de transport suspendu qui circule sur un rail tubulaire, tuyau par exemple, qui peut être utilisée simultanément comme moyen de transport de certains produits liquides ou gazeuses).

-         Au cas d’une voie de roulement double (ex. les voies ferrées), celle-ci a l’avantage qu’au cas des courbes leurs inclinaisons permet la circulation dans un intervalle de vitesse – étroit, le prix est plus grand à cause du terrassement permanent sur toute la longueur, avec des complications majeures dues à la forme de relief (ex. tunnels coûteux).

-         Le transport électrique n’est pas polluant, etc.

Ils nous ont invité d’aller manger avec eux, dans leurs maisons, et on s’est séparé avec mon copain, il a été invité chez un géant, et moi chez un autre.

A l’intérieur de la Terre, tous les fruits et les légumes sont plus savoureux et plus parfumés que ceux qu’on a sur la surface extérieure de la terre. On est resté chez les géant pendant une année, en se réjouissant de leur compagnie comme ils se réjouissaient de faire notre connaissance. Pendant notre visite, on a observé beaucoup de choses étranges et inhabituelles chez les géants et tout le temps on restait étonnés par le progrès scientifique et de leur invention.

Pendant toute cette période, ils n’ont jamais été inamicaux avec nous et ils nous ont permis de retourner à la maison tel comme on été venus"/span>

.

Une expérience similaire et totalement indépendante décrite par le norvégien Olaf Jansen, a été citée par l’écrivain américain Willis George Emerson, dans le livre "Le Dieu enfumé".

Le titre fait référence au Soleil du centre intérieur vide de la Terre, qui, étant plus petit et moins étincelant que notre soleil, semble enfumé.

Le livre cite l’expérience vécue par deux norvégiens, père et fils, qui avec leur petite barque à pêche et ayant un courage extrême ont essayé de retrouver la contrée d’au-delà du vent du nord, parce qu’ils avaient entendu sur sa beauté et sa chaleur.

Une tempête extraordinaire les a porté, sur presque toute la distance, par l’ouverture polaire dans l’intérieur vide de la Terre.

Ils ont passé la-bas deux ans et ils sont rentrés par l’ouverture polaire du sud. Le père a décédé au moment où un iceberg s’est cassé en deux et leur a détruit la barque. Le fils a été sauvé et il a passé 24 ans en prison, étant considéré fou, parce qu’il avait raconté son expérience à des gens qui ne l’ont pas cru.

Quand, enfin, il a été libéré, il n’a plus dit le conte a personne. Après 26 ans, comme pécheur, il a épargné suffisamment pour arriver aux Etats-Unis et s’établir à Illinois, et plus tard, en Californie.

A 90 ans, par hasard, le romancier W.G.Emerson a lié amitié avec lui et a appris l’histoire. Après la mort du vieux, il a hérité les cartes de l’intérieur de la Terre, faites par ce dernier et le manuscrit dans lequel il décrivait ses expériences.

Amoldo de Azevedo, dans sa Géographie physique, a écrit sur le monde mystérieux qui se trouve sous nos pieds ce qui suit :

"On a sous nos pieds une région immense, dont le rayon est de 6290 kilomètres, complètement inconnue, qui constitue une provocation pour la compétence et l’infatuation des savants".

Du vaste domaine des travaux d’anticipation je cite le fait que Bulwer Lytton, dans son livre "Race future", décrit une civilisation souterraine plus avancée que la notre, qui a existé dans une cavité souterraine qui était liée avec la surface par un tunnel.

Cette cavité était illuminée par une lumière bizarre, qui n’était pas produite par les lampes, mais semblait résulter par l’électricité de l’atmosphère. Cette lumière entretenait la vie des plantes et permettait au peuple souterrain de faire l’agriculture.

Les habitants "de l’Utopie" décrite par Lytton étaient des végétariens et volaient avec l’aide des appareils, ne connaissaient pas la maladie et avaient une organisation sociale parfaite, de sorte que chacun recevait ce qu’il attendait sans qu’il existe de l’exploitation.

De sorte, il ne faut pas oublier ni le travail d’anticipation de Jules Verne, Un voyage vers le centre de la Terre, de tant plus qu’il s’est prouvé être un clairvoyant de succès dans beaucoup d’autres aspects.

Verne décrit un groupe d’explorateurs, qui sont rentrés dans un cratère de volcan et après qu’ils ont marché des mois et des mois, ils sont arrivés, à la fin, au centre vide de la Terre, où ils ont trouvé un monde illuminé par son propre soleil, avec des océans, terre et même des villes.

Passant au domaine des livres initiatiques, il faut rappeler que Ossendowski écrit dans son livre Les Animaux, les gens et les dieux ce qui suit : "Le royaume d’Agarthe s’étend par les tunnels souterrains dans tous les coins du monde…"

Toutes les cavernes souterraines de l’Amérique sont habitées par un peuple ancien, qui a disparu de notre terre. Ces gens et les régions souterraines où ils vivent se trouvent sous l’autorité suprême du Roi du Monde.

Tant dans l’Océan Atlantique, comme dans l’Océan Pacifique ont existé auparavant, de grands continents, qui ultérieurement se sont effondrés, et leurs habitants se sont réfugiés dans le monde souterrain. Les cavernes les plus profondes sont illuminées par une lumière éblouissante, qui permet la croissance des céréales et d’autres légumes et offrent aux habitants une vie longue et dépourvue de maladies. Dans ce monde il existe une population nombreuse et beaucoup de tribus”. Dans le même travail, l’auteur fait référence à l’existence d’un vaste réseau de tunnels, construits par une race préhistorique, de l’antiquité lointaine, qui passait tant sous les continents, que sous les océans et par lesquels circulaient des véhicules rapides.

Le plus fameux entre ces tunnels est le Chemin des Incas, qui s’étale sur plusieurs miles au sud de Lima et passe sous le Cuzco, Tiahuanaco et les Trois Sommets, continuant vers le désert Atacambo.

Le royaume dont Ossendowski parle pendant ses voyages en Mongolie, consiste, évidemment, dans des cités souterraines qui se trouvent dans l’écorce de la Terre, qui ne doivent pas être confondues avec les territoires de son intérieur vide.

Conformément à cette vision, il s’agit de deux mondes souterrains, l’une située vers al surface, et l’autre à l’intérieur vide de la Terre.

La base de l’existence de toute civilisation, d’autant plus de celles qu’on suppose qu’elles déroulent l’activité au souterrain, est conditionnée par l’assurance de quelques ressources essentielles, entre laquelle la plus importante est l’eau potable. Les recherches scientifiques relativement récentes effectuées avec des moyens modernes de recherche ont relevé l’existence d’un vaste réseau de fleuves souterrains à l’intérieur de l’écorce terrestre, y compris dans les zones arides, ce qui vient dans l’appui de l’hypothèse concernant la possibilité de l’existence des civilisations dans les profondeurs.